La citée de mégid

Yuyio 1237, la Citée de Mégid étais calme et joyeuse, comme à son habitude lorsque plusieurs événements vînt bouleverser la citée . . .

Le premier est lorsqu’Hécatombe se ramena avec des nouvelles de Vesperae, lors d’une banale et habituelle descente sur Vesperae pour aller chercher des provisions pour l’auberge . . . Elle nous appris qu’une conquête à grande échelle allait avoir lieu. Icares demanda à un personne connaissant bien la situation actuelle de venir nous renseigner plus précisément sur ces conquêtes, quel rôle tenais le roi, quels Nations Guerrières serrais éventuellement intéressées et bien d’autres choses encore . . . Après de longues discutions à la salle de réunion, Guildo pris congé.
Pendant plusieurs semaines des discutions eurent lieues au sujet des derniers événements et finalement suite à un affaiblissement de la citée entre Amoria et Deficos 1237 pour différentes raisons, les Méjidiens décidèrent de ne pas y participer . . .
Mais c’était sans compter un nouvel arrivant qui eût bientôt le droit d’accéder aux plus hauts quartiers privés . . . Peter le Magnifique relança la discussion sur le sujet . . . Après maintes et maintes discutions interminables, les Méjidiens décidèrent finalement lors de début Sanfio 1238 de participer au Projet . . .
Icares et Peter le Magnifique furent désignés pour représenter la citée dans Vesperae.
Il parvinrent par la suite vers la Mi-Sanfio 1238, en ces lieux nouvellement pris de regain par les futurs batailles s’annonçant dans les temps à venir et ou des ventes diverses, racontars et autres événements avait lieux.
Une rumeur par ailleurs précisait que des gemmes mystérieuses étaient apparemment destinées par les dieux à chaque chef des différentes Nations guerrières.
Il ne purent en savoir d’avantage et rentrèrent finalement à la Citée, quelque peu bredouille, une semaine après être partis et trempés, car il s’était mis à fortement pleuvoir en cour de route . . .

Icares : Rhaaa, quel temps de blob . . .
Bêêêêh : Bêêêêêh . . .
Peter : Ouai, ça tu peut le dire . . . Heureusement l’on est bientôt arrivés . . .

*Peter glissa dans la boue et se ramassa la tête la première, Icares l’aida à ce relever*

Arrivé à la citée Icares du tout de suite aider Wizmerhill (fils adoptif d’Icares, en apprentissage depuis quelques temps chez un berger en retraite) à régler quelques problèmes d’inondation pour les habitations basses de Méjid. Le temps ne changeant point, chacun se réfugia fort vite prés des feu de bois, qui ronronnaient sans relâchement dans les cheminées.
Le temps passa très vite à la tempête et les bruits de craquements, explosions, sifflements, firent passer une très mauvaise nuit aux courageux Méjidiens. Pendant la nuit la tempête devînt de plus en plus forte et entraîna le deuxième événement.
A minuit moins cinq, un bruit assourdissant se fit entendre des hauteurs de Méjid, avec par la même occasion un superbe éclair lumineux.
Au petit matin, la tempête c’était enfin calmée et certains en profitèrent pour enfin dormir tranquille par cette froide matinée du 22 Sanfio 1238. Icares, lui, même n’ayant point dormis de la nuit, se leva péniblement et se dirigea vers la bergerie avec Bêêêêh (pére de tous les moutons d’Icares et son premier mouton). Au passage il réveilla Wizmerhill :

Icares : Allez ! Hop debout . . .
Wizmerhill : Mhhhhh . . .
Icares : allez, allez plus vite que ça !! c’est le métier qui rentre ! ! ! Je t’attends dans un quart d’heures à la bergerie . . .

Ils partirent tous deux vers les hauteurs Méjidiennes, pour se diriger vers les pâturages. Il ne remarquèrent pas du tout vu leur état avancé de fatigue, que un bon quart de la forêt avait brûlée dans la nuit . . . Le sol étais très détrempé, boueux et glissant . . . Il faisait plus frais après cet orage, ce qui faisait ressembler le temps un peu plus à un hiver . . . Car auparavant il faisait doux et pas trop froid pour un mois de Sanfio à Megid . . .
Arrivé dans le bois, Icares s’arrêtât, regarda longuement autour de lui les bois dévastés par la foudre tombée la veille, puis il aperçut au loin un objet gris-bleuté et en dehors du chemin. Il s'en approcha et n'en cru pas ses yeux quand il reconnu une gemme . . .
Il hésita sur le coup à la prendre dans ses mains (on ne sait jamais quel maléfice aurait pu avoir raison de lui), puis au bout d'un moment, il se décida, encouragé par Bêêêh et Wizmerhill. Son cœur battant la chamade, il prit la gemme dans ses mains délicatement, la reluqua un moment et laissa ses moutons à Wizmerhill pour courir à la citée . . .

Il arriva en trombe à la porte de la citée nord, bouscula Peter au passage (qui étais en train de planter un Forsythia dans les massifs de la porte nord), ce qui le fît tomber violemment sur l’arbuste qu’il venait de planter :

- Peter : *Assez surpris* Eh ! Mais ça va pas ? Qu'est-ce qui te prend ? Et voila tu m'a fait écraser ce que j’étais en train de planter et en plus je me suis repris plein de boue en pleine tronche . . . Comme si j’en avait pas eu assez hier . . .
- Icares : *L'ayant à peine vu* Hein quoi ? Ah Peter . . .*Il se retourna brusquement* *essoufflé* C'est formidable, cette nuit Dranig nous à envoyé la gemme du vent !
- Peter : *Continu à râler*. . . *réalise soudain ce que viens de dire Icares* Quoi ? La gemme du vent dans les pâturages ?
- Icares : *Toujours essoufflé* Non, dans les bois . . . Amené par la foudre d'hier soir je suppose . . . D'ailleurs on aura moins à chasser pendant un moment . . . *fait un mouvement de la main signifiant houlala*
- Peter : Ah c'est ça qui a fait ça ? Mais ça vaut le coup non ? *souris et saute de joie*
- Icares : on va annoncer ça ?
- peter :*Regard déterminant, fonce vers l'auberge avec Icares*
- Hécatombe : He !!!! Doucement dans mon auberge !!! Toujours aussi mal élevés à ce que je vois . . . Dehors !!!
- Icares et Peter : *En même temps* On a . . . J'ai . . . Icares à trouvé la gemme !!!
- Hécatombe : Nooon ?
- Icares : *Fièrement* Si !
- Hécatombe : *Furieuse* Et c'est pour ça que vous me dérangez ? *Voyant leur tête elle est morte de rire* Ahaha . . . Si vous aviez vus votre tête . . .
- Icares : C'est pas drôle . . . Bon tu préviens tout le monde . . . Réunion, ce soir . . .

Le soir à la salle de réunion :

- Peter : Grom, je te félicite . . .
- Grom64 : Hein ? Pourquoi . . .
- Peter : Eh bien, j'en mettrais ma main à chauffer que c'est la première fois que tu arrive à l'heure !
- Icares : *Se marre*
- Grom64 : Oh ça, ça va . . . Je sait que je suis étourdis et très occupé . . . Mais quand même . . .
- Hécatombe : C'est pas grave Grom . . .

*Tous le monde se marre*

Tous le monde étais joyeux de cette bontée de Dranig et chacun exposa ses idées du placement de leur troupes pour le projet. Icares proposa de s’installer à Telgun ou Abelheim, mais ces villes étaient déjà prises sous le joug d ‘ennemis . . . A l’unanimité, ils décidèrent de conquérir les habitants de Lumetyrion. Il se demandèrent ensuite comment activer les fameux pouvoirs réputés de la gemme, puis chacun partis de son côté pour y réfléchir . . .
Après plusieurs expériences ils finirent par conclure que la magie de la gemme tirais ses pouvoirs de l’imagination de son porteur : c’est à dire le fils adoptif d’Icares : Wizmerhill . . .

Le troisième événement survint très vite . . .
Auparavant Peter le magnifique s'amusa à divertir et à jouer le Hérault en annonçant :
Il s'était déguisé en bouffon du roi et il suscita bien des rires autour de lui . . .

- Peter le magnifique : Oyez, oyez . . . Braves Méjidiens, l'heure de notre départ approche, n'oubliez pas de vous préparer pour notre long exil sur les terres de Vesperae . . . Plus de rigolades à l'auberge de notre chère Hécatombe . . . Ainsi que le départ de vos maris pour les femmes !

Le 17 Sanfio 1238, nous conquîmes lumetyrion.
C'était par un temps plutôt maussade que les généraux méjidiens se retrouvèrent à l'auberge, pour les derniers préparatifs. Icares arriva avec pleins de bibelots, ce qui lui valu quelques moqueries. Il répondit de ce fait que c'était pour Wizmerhill et qu'il décidait de ce qu'il fallait lui-même, ne venant pas à la conquête. Il fit par de ses pensées et interrogations à Wizmerhill, sous l'œil attentif de Bêêêêh, qui pour plus de sûreté restait à la citée avec Icares. Ce qui valu quelques effronteries de sa part. Icares eu encore quelques réflexions en plus quand il vérifia que chacun étais passé à la salle d'arme pour l'armement.
Grom parvint à rallier le groupe non sans point de retard, mais avec honneur et sagesse comme à son habitude. Kilik, lui n'étais pas la car il avait déjà annoncé qu'il nous rejoindrait et nous ferais don de son aide que plus tard, en raison d'une besogne quelque peu chargée. Hécatombe s'étais chargée de la nourriture, mais ne sachant pas ce qu'ils découvriraient à Lumetyrion et l'état de leurs futures conquêtes, elle avait empaquetée ce qui lui semblait le plus important.
Il était encore tôt lorsqu'ils quittèrent l'auberge. Tout le monde était assez silencieux et le petit groupe se dirigea alors vaillamment vers la grande tour de méjid. La, au pied de la tour ils retrouvèrent leur armée qu'ils avaient rassemblés depuis plusieurs jours . . .

Icares connaissant bien chacun de ses guerriers :
- Mes amis, vous savez tous ce qui vous attend . . . Ou plutôt êtes tous prêts à faire de votre mieux dans les conquètes à venir . . . Je le sait et vous en suis reconnaissant . . . Cette fois je ne serais pas à vos côtés, *Pose un regard légèrement attristé* Vous savez déjà tous pourquoi . . . Wizmerhill *le prend par l'épaule* sauras me remplacer j'en suis certain . . . Dans cette grande conquête TOTALE de Vesperae pour anéantir le roi une bonne fois pour toutes je compte sur vous ! Que Dranig vous porte au delà des mers . . .

*Applaudissements général*

Suite au discours, Icares avec Wizmerhill, entraîna les gènèraux et l'armée Méjidienne vers les escaliers de la tour. Chacun avait le coeur léger. Pendant la marche ils regardèrent une dernière fois la citée puis regardèrent l'immense tour les surplombant d'une cinquantaine de mètres. Il est dis que cette tour est un des bâtiments les plus vieux et les plus beaux de la citée, ainsi que l'un des seul à avoir résisté à la fameuse attaque passée du roi. Une légende cours aussi, que aller dans les hauteurs de cette tour, permettais d'être plus proche du vent et de la foudre de Dranig. Ils montèrent les multitudes de marches conduisant au sommet. Pendant la montée, personne ne se demanda comment les machines guerrières allaient les talonner, ni les chariots de nourriture, tout le monde avait une totale confiance en leur dieu. Le vent était frais et par les hauteurs de la tour méjidienne ils se demandèrent dilatoirement, ce que Dranig et ses serviteurs, allait encore inventer pour leur faire fouler la ville de Lumetyrion. Au bout de quelques instants, ils perçurent un léger éclat de lumière et en regardant dans la direction de la lumière, ils purent tous écouter une mélodie légère et douce, source de leurs futures conquêtes. Ils se laissèrent entraîner par la musique un moment et ne pressentirent point le sol qui se dérobait sous leurs pieds, pour laisser place à la conquête de Lumetyrion.
Ils revinrent à leurs esprits brutalement et purent observer les murailles de Lumetyrion. Ils se dévisagèrent et sursautèrent lorsqu'ils virent parmis leurs rangs Riton, le fameux voleur de Méjid, avec le clairon de la citée dans une main. Il regardait autour de lui avec des yeux apeurés.
Les gènèraux s'approchèrent de lui et le dévisagea.

Riton : *Voix tremblante* Mêêê . . ., mais qu'est-ce que je fait la ?
Grom : *Levant les yeux au ciel, mais avec une voix patiente* Et c'est toi qui nous demande ça ? Et qu'est ce que tu fais avec notre clairon qu'on avait oublié ?
Riton : Pour le clairon, je sait pas, je vous jure . . *voyant tous les regards tourné vers lui, sévères* Enfin si, j'avoue je vous ai vu sortir en groupe de l'auberge et je vous ai suivis , ensuite j'ai vu votre armée prête au combat et ai pris peur . . . Je me suis alors caché un moment et suis entré plus tard dans la tour car la porte était restée ouverte . . . Dans l'escalier de la tour j'ai vu ce joli clairon et me suis dit que je pourrait le revendre et . . . et je me suis retrouvé ici après avoir entendu une voix bizarre et une espèce de musique . . . *Les voyant se rapprocher de lui* Mais je vous jure j'ai rien fait . . . Pitier . . .
Wizmerhill : Et tu sais te battre ?
Riton : *Avec une voix pâteuse* Oui maître !
Wizmerhill : Hum . . . On verra si tu nous seras utile . . . Bon allez hop en première ligne !
Riton : *Apeuré* En première ligne ? Mais pourquoi moi en première ligne ?
Grom : *Voix tout à fait sérieuse et affirmative* Boh, Tu feras peut être peur à l'ennemi quand il te verra arriver . . .
*Rire général*
Wizmerhill : Bon assez, perdu de temps ! Je crois pas que l'on ai été repéré, mais peter je veut bien que tu aille voir la situation ennemie avant qu'on attaque . . .

La conquête de Lumetyrion, ne fut pas trop difficile et ils durent surtout s'occuper des gardes du roi, ainsi que des archers sur les remparts de la ville. Une fois l'endroit sécurisé ils utilisèrent un bélier improvisé pour enfoncer la porte. Ils tuèrent les derniers gardes, sonnèrent du clairon pour savourer leur victoire et demandèrent fermement à la population, d'oublier leurs anciennes croyances. Il firent pendre le noble à la solde du roi qui s'occupait jusqu'à maintenant de la ville, prirent quelques femmes parmis les habitants (pour ceux qui en avaient pas à Méjid), édictèrent de nouvelles lois et s'entraînèrent pour les futures batailles aux arènes et salles d'entraînement . . .
La nouvelle auberge d'Hécatombe êtant trop petite pour accueillir tout une armée, un campement fut installée dans la ville.
Après avoir gagné la confiance de la population par divers moyens (organisations de fêtes, discutions, savoir faire Méjidien, aides diverses . . .), les généraux essayèrent de recruter les hommes valides pour leur solde. Pour cela il fallait les délester totalement de leur ancienne croyance et c'est ce qui prit le plus de temps.

Quelques temps plus tard, le 26 Sanfio 1238, ils préparèrent leur départ pour la conquête . . .
Ils jetèrent leur dévolu sur la conquête de la plaine Ouest de Lumetyrion en soirée, pour plus de discrétion (pour éviter aussi les éventuels espions du roi ou des autres nations) et vers 21 h 15 ils se retrouvèrent à la porte Ouest de la ville et firent les derniers préparatifs pour leur long voyage . . . Grom étais pour une fois très en avance par goût de la future guerre qui allait s'annoncer. Ils avaient hâte de combattre . . .
Ils sortirent de la citée, l'armée à leur talons et un vent frais les accueillirent.

Killdémon : ATTENTION !
Grom : *S'arrêtant net dans sa marche et regardant autour de lui* *les autres guerriers méjidiens se cognent à lui car il s'est arrêté brusquement (les cinq généraux devant, suivis par les guerriers et Riton à l'avant)* Quoi ?
Killdémon : La ! Un lapin ! *Saute sur le lapin* *Cri du lapin*

*Tous le monde se marre*

L'armée s'en donna à coeur joie aussi jusqu'a la tombée de la nuit. Ils marchèrent toute la soirée et tard dans la nuit s'arrêtèrent pour monter le camp.

Wizmerhill : Aller hop ! On prend position ! Et que ça saute ! Riton tu fait le guet cette nuit pour que l'on sache par un cri de ta part, si quelqu'un vient . . . On t'apporteras le dîner quand on aura monté le camp . . . *Riton y va en bougonnant* *se retourne vers les autres méjidens qui sont en train de rigoler tous qu'ils savent * . . . Oh ! de l'action vous aussi et que ça saute ! Quand à l'armée elle va s'installer dans le coin la.

Il désignait un creux dans la plaine ou ils étaient; Riton lui fit le guet du haut de la colline qui dominait le creux.
Ils lapidèrent les loups et lapins alentours, qu'hécatombe fit cuire sur un feu de camps improvisé, Peter aida Hécatombe à trouver des herbes pour la cuisine. Chacun sortis son lit de camp et ils bavardèrent un peu au tour du feu . . . L'armée disposant de tentes vertes pour passer plus inaperçu. Les méjidiens ne tardèrent pas à aller se coucher car ils devaient se lever tôt le lendemain matin pour continuer en direction de la plaine du carnage. Cette plaine étant à une semaine de marche environ . . .
Chacun s'endormis pour un sommeil sans rêve et quelques peu inconfortable. Tout le monde pensa avant de s'endormir à son lit douillet . . .
Le lendemain ils marchèrent toute la journée. Un moment Wizmerhill s'aperçut que Peter n'était plus avec eux. Il demanda si quelqu'un l'avait vu, puis finalement il apparu et s'excusa en disant qu'il avait vu une plante rarissime et qu'il avait fait un croquis pour son herbier . . . Il eu quelques réflexions du genre : Pff mais alors lui . . . Rhôôôh Peter tu sait ce qu'on est en train de faire au moins ? . . . ça t'as pas suffit la bataille de Lumetyrion . . . Et ce temps humide ? Et il répondis : Oh vous savez moi je suis toujours de bonne humeur . . .
Au bout de quatre ou cinq jours ils en eurent marre de cette plaine humide à perte de vue, truffée de trous de lapins qui les faisait trébucher à qui mieux mieux. Les loups ne cessaient de les attaquer ce qui augmenta leur fatigue . . . L'humour n'étais plus au beau fixe et les cœurs commencèrent à s'endurcir. . . Même Peter commença à en avoir marre car normalement il avait une habitude tout de même de voyager, mais la gérer une armée comme celle qui marchait derrière lui le dépassait un petit peu . . .

Peter : Pffff . . .
Grom : Quoi ?
Peter : Non non . . . je pensait juste que l'on aurait pu prendre des chevaux ça aurait été plus vite . . .
Grom : Ouai mais tu sais on est pas très cavalier . . . Et puis en plus tu te rend compte du nombre qu'il aurait fallut pour notre armée ?
Wizmerhill : En plus ça nous aurait fait utiliser une tactique différente et on aurait eu plus de travail . . .

Soudain, arrêtant net la discussion, Riton arriva en courant, une flèche fichée dans son casque. Ils prévînt Icares qu'une armée ennemie approchait. L'armée méjidienne se mit en position pour cueillir l'armée ennemie. La tactique de bataille utilisée pour cette bataille, étant de mettre un groupe face à l'ennemi arrivant pour faire diversion et d'autres sur les côtés de façon à faire au maximum un cercle. Lorsque le combat eût été engagé ou presque engagé les groupes étant le plus loin se refermèrent sur l'armée ennemie par l'arrière.
La bataille s'annonça pas trop mal et il n'y eu pas trop de morts. Personne n'avait réussis à s'enfuir. Ce qui étais bon signe pour notre nation car jusqu'a présent depuis l'élévation de la citée par Dranig les Méjidiens n'avaient que peu montrés le bout de leur barbe au roi . . . L'occasion de conquérir Vesperae tombait vraiment à pic pour se refaire une fontaine de jouvence . . . L'armée dressa le camp, car la bataille avait pris une bonne partie de la journée et il n'étais plus temps de conquérir.

Au bout d'une semaine ils aperçurent enfin la plaine du carnage, sujette aux légendes des anciennes batailles. . . Ils aperçurent enfin quelques arbres et des poulets ! Ils purent donc enfin changer un peu de régime. Ils établirent leur feu de camps près d'un arbre et récapitulèrent les aventures des derniers jours . . . Pour l'instant leur conquête avançait bien et ils étaient contents d'approcher de Proncillia. Ils conclurent qu'il leur fallait quatre jours pour atteindre Proncillia. Le lendemain ils aperçurent une grotte, mais vu l'odeur extrême qui s'en dégageait ils préférèrent ne pas s'y engager et encore moins pour un abris pour la nuit . . .
Le 4 Arisis 1238, ils aperçurent au loin un éclaireur de la Lignée d'argent qui prenait sûrement la connaissance du terrain. Les poulets dans cette région étaient aussi agressifs que les loups et ils durent sans relâche se défendre contre des hordes de poulets enragés.

Le soir du 6 Arisis 1238, ils dressèrent le campement et allumèrent le feu.
Il n'y avait pas du tout de brouillard et ils purent apercevoir très loin et imprenables les lumières de Proncilia. Plusieurs directions s'offraient pour la première fois à la nation Méjidienne et ils discutèrent tard dans la nuit pour savoir quelle direction prendre. De plus, la conquête commençait à devenir plus que sérieuse étant donné que d'autres nations commençaient à être de plus en plus proches. Grom et Peter était pour le combat, les autres étais plus réfléchis.

Suite à cela le lendemain, vers midi du 7 ème jour d'Arisis 1238, ils décidèrent malgré l'alléchante Proncillia qui se détachait à l'horizon, de conquérir la plaine du Déclin, se rapprochant ainsi fatalement d'une nation jeune et nouvelle : La lignée d'Argent . . .

La conquête de la Plaine du Déclin déclencha sur les paysans qui s'étais installés sur la plaine une vague de chuchotement mauvais. Ce qui laissait penser que voyant arriver une armée dans leurs champs ne leurs présageait rien de bon, de peur qu'une bataille ne détruise leur culture. Mais la lignée d'argent restant dans ses retranchements, il n'y eu point de bataille. L'armée passa lourdement, sous le bruit des armures et des jambières sans trop se soucier des paysans. Quelques blob traînaient par ci par la ce qui fût un regain d'énergie pour les hommes et leurs commandants (il n'y a que les maman blob qui on mauvaise réputation et ils n'en ont pas rencontrées beaucoup). Le soleil fût au beau fixe pendant plusieurs jours et inonda les visages. La terre était moins humide que les autres terrains rencontrés auparavant et l'armée put marcher d'un bon pas. Abelheim approchant, tout le monde redoublait de vigilance. Riton commençait à être meilleur combattant de par ses entraînements chaque soir avec les cinq commandants de l'armée Méjidienne.
Approchant d'Abelheim ils décidèrent de monter un camp plus organisé que d'habitude, au cas ou. Des tranchées autour du camp furent creusées et une passerelle pour passer la tranchée fût construite. Deux gardes se postèrent à chaque point stratégique avec des lances et des arcs. Ils décidèrent aussi de manger froid et de ne pas allumer de feu de camp pour ne pas alerter l'ennemi. Tout le monde était assez anxieux.

Le 10 Arisis 1238, un terrible évènement parvint au campement . . .

Dans une des tentes étaient réunis quatre des généraux, autour d'un lit. Chacun avait la mine grave et s'interrogeait sur le sort d'Hécatombe qui était tombée malade quelques jours plus tôt. Son état s'aggravait chaque jour.

Wizmerhill : ça va Hécatombe ?
Hécatombe : *Voix faible* ça pourrait aller mieux . . .
Wizmerhill : Si t'as besoin de quoique ce soit tu nous le dis surtout . . . Bon les gars, réunion à ma tente !

Peu de temps après . . .

Wizmerhill : Rhâââh ! Et ce mèdecin qui n'arrive pas . . .
Killdémon : Va falloir que l'on retourne à Proncilia. On peut pas attaquer Abelheim dans ces conditions.
Wizmerhilll : *perdu dans ses pensées* Oui, c'est vrai tu as raison . . . On va laisser des éclaireurs et notre base en état. Dites à nos hommes de préparer un brancard !

Le lendemain, très tôt, l'armée se mit en marche. L'atmosphère s'était rafraîchie dans la nuit et une épaisse brume au loin fourvoyait Proncilia.
Peu de détail ne fut rapporté de ce voyage si ce n'est que chacun portais la maladie d'Hécatombe dans son cœur. Tout le monde avait déjà effectué le voyage mais la c'était différent. Hécatombe étais très appréciée. Elle avait toujours sue se faire respecter tout en étant gentille avec tout le monde. De plus elle était très dévouée
Curieusement lorsqu'ils arrivèrent à Proncilia ils ne trouvèrent que quelques gardes et beaucoup de brouillard. Apparemment, selon la rumeur locale, cela était dû à d'étranges évènements récents, avec à leur source une sorcière au port de Trigorn qui provoquait des métamorphoses. Même le gouverneur n'étais pas la. Ils avait disparu lui aussi, sans que personne ne sache ni pourquoi ; ni comment.

Grom : Trop facile la conquète !
Killdémon : *Le regard lointain* Oui, mais à quel prix . . .
Peter : Hein ? Comment ça ?
Killdémon : Non, non rien . . . Pfff j'crois que j'ai besoin de repos la . . .
Grom : Killdémon qui sait plus ce qu'il dis !
Peter : Mouof ! C'est pas la première fois . . .

Quelques temps passa, mais aucun médecin de Proncilia ne pus venir à bout de la maladie d'Hécatombe . . . Elle mourut le 17 Arisis au soir. Elle fût longtemps pleurée . . .


[HRP] Véridique Hécatombe est morte IRL . . . On a été prévenus par son copain . . .

PS Pour Gorn Valim : Désolé, Icares a un Problème d'ordinateur alors ça a pris du temps et finalement c'est moi qui ai fait la conquète de Proncilia . . . Mais je vois que tu as trouvé une autre solution . . . Hum dommage j'aurais bien aimé répondre à ta requête . . . Mais ceci dis ton RP est très bien . . .[/HRP]

Par un matin pluvieux, une silhouette encapuchonnée s'approche des gardes de la ville. À la grande surprise de l'intrus, les gardes entrecroisent leurs hallebardes.

- Ho là ! Qui vive ? Montre-nous ton visage, cochon !

L'étranger, perplexe, s'exécute, révélant un visage franc quoiqu'un peu naïf.

- Voilà, vous êtes contents ? Je viens voir les représentants de l'armée qui occupe actuellement la ville. Je suis Gorn Valim, lieutenant des Derniers Chevaliers. Laissez-moi passer, scrogneugneu !

(edit hrp : je considère par souci de cohérence que Gorn, pour se rendre à Proncilia, est passé par Sarosa peu avant la conquête du village)

- Gardes : Ah oui ? Et pourquoi donc ?
- Gorn Valim : C'est pas à crier sur les toits !

L'un des gardes rentre dans la ville en stipulant à Gorn d'attendre la. Gorn remis ça capuche à cause de la pluie qui risquait de lui descendre dans le cou. Il essaya d'entamer la conversation . . .

[HRP] Au cas ou tu voudrais essayer de parler avec les gardes en attendant, mais je sais pas si ils sont d'humeur à ça . . . [/HRP]

Gorn danse d'un pied sur l'autre. Ses bottes trouées ayant pris la pluie, son mouvement d'impatience s'accompagne de bruits de succion.

Imperturbable, le garde a repris la pose, la hallebarde levée. Les gouttes qui s'abattent sur son casque produisent un son métallique et creux.

Gorn s'impatiente et décide d'engager la conversation.

- Fait pas chaud, hein ?

- ...

- Quel temps de blob.

- ...

- Heureusement, j'ai une capuche !

- ...

- Je vois que vous n'avez pas de... *désigne le mur de la cité* ... de guérite pour vous abriter. C'est dommage. Y eu des coupes dans le budget de la défense ?

- ...

- Vous n'êtes pas très bavard.

- ...

- Y a des bonnes auberges dans le coin ?

- ...

- Sinon, tout est calme ces temps-ci ? Pas d'attaques de chupons, etc ?

- ...

- *lève la tête* Ça s'calme pas, on dirait.

- ...

- Le climat de Lanjis est étrange, cette année.

- ...

- J'ai lu dans la gazette que Lanjis n'avait pas été aussi chaud depuis 1181.

- ...

- Et malgré tout, la neige est tenace.

- ...

- Je vois d'ailleurs que vous n'avez pas encore retiré les décorations de Noël.

- ...

- Bon.

- ...

- Bientôt la relève ?

- ...

- Oh, regardez, derrière vous, un blob à trois têtes !

- ...

- Ben vous réagissez pas ?

- ...

- Bon. De toute façon c'était pas vrai. C'était une blague ! Ha ha ! Ha ! Ha.

- ...

- ...

- ...

- Votre cuirasse est trempée, va falloir la faire sécher.

- ...

- Et c'est long, ces trucs, je peux vous le dire.

- ...

- Vous me le dites, si je vous embête, hein ?

- ...

- *sort une gourde et boit*

- ...

- Vous en voulez ? C'est de la boisson pourpre.

- ...

- Ah oui, suis-je bête, vous êtes en service. L'avantage des chevaliers, héhé, c'est de pouvoir boire sans se cacher...

- ...

- D'habitude, les mauvaises langues disent "c'est bien leur seule qualité" ou un truc dans le genre. Je dois reconnaître que vous faites preuve d'une qualité d'écoute exceptionnelle. C'est agréable de converser avec vous.

- ...

- Vous êtes marié ?

- ...

- Entendons-nous bien, hein, ça peut prêter à confusion mais je n'éprouve pas le moindre penchant sexuel pour la gent masculine. Je demande juste pour faire la conversation.

- ...

- Bon.

- ...

- *sifflote*

- ...

Le temps passe, la pluie tombe.

Les généraux de l'armée Méjidienne n'étais pas en grande forme et il n'y avait pas un univers joyeux comme d'habitude dans une auberge. Wizmerhill sirotait son jus de blob accoudé sur la table. Peter regardait une mouche voler. Grom et Killdémon étaient affalés sur la table et dormaient. Le garde déboucha en trombe dans l'auberge.

- Le garde : Wizmerhill ! Wizmerhill !
- Wizmerhill : *Se retourne en sursautant* Quoi ? Qu'est-ce qu'il y a Parasim ?
- Parasim : *S'aperçevant de sa maladresse qui avait fait sursauté et réveillé certains* Il y a quelqu'un qui veut vous voir à la porte Nord !
- Killdémon : *Voix lasse et endormie* Pfff ! Qui ça ?
- Parasim : Je sais pas son nom. Il est habillé tout en noir . . .
- Peter : *Coupant* Ah oui. Laisse je l'ai vu à l'auberge avec Icares. Il avait dis qu'il viendrais.
- Grom : Pourquoi ?
- Peter : Il l'a pas dis tout haut
- Wizmerhill : Bien Parasim ! retourne à ton poste et dis à cet inconnu qu'on arrive.

Parasim sortis en trombe, de l'auberge. C'était quelqu'un d'assez vif . . .

[HRP] J'adore ton RP ! Les dialogues sont très bien trouvés . . . [/HRP]

(^^)

Pendant ce temps, à la porte Nord.

- Vous êtes level ?

- ...

- Hum, j'ai compris, vous êtes pudique. Vous avez raison.

- ...

- /lvl garde*de*la*porte*nord*2

- ...

- Saperlipopette ! J'pourrais vous one shooter en arène ! Vous n'êtes pas très expérimenté, dites donc !

- ...

- Remarquez, c'est assez finaud... Les guerriers surpuissants comme moi ne peuvent pas vous toucher... Bien vu de la part de vos supérieurs

- ...

- Au fait, c'est qui, vos supérieurs ?

- ...

- Je veux dire, ce sont les Megid, ou la ville est encore au Roi Roland ? Je vous avoue que je suis un peu paumé avec tous ces remous...

- ...

- Sans compter les quêtes à entreprendre, les guildes à gérer, l'entraînement - très important, ça -, les courses, la vaisselle,...

- ...

- *soupire* Eh oui, la vie de chevalier n'est pas de tout repos. Parfois, j'envie les gardes comme vous qui n'ont rien d'autre à faire que tenir une lance et lancer des "halte, qui va là ?" En plus, avec la couverture sociale, les congés, la sécurité de l'emploi... Non, sans déconner, vous avez pas mal d'avantages, vous autres. Vous savez pas la chance que vous avez.

- ...

- C'est pas toujours marrant, vous savez... Enfin, moi j'me plains pas, hein, mais parcourir les campagnes de Vesperae sans trouver la moindre quête à accomplir, le moindre tort à redresser, la moindre damoiselle à sauver, c'est un peu frustrant, parfois. Ça m'arrive rarement, mais il y en a qui ont parcouru tellement de donjons qu'ils les connaissent par cœur et qu'à présent, ils s'ennuient. Et vous savez ce qu'ils font ?

- ...

- Eh bien ils recommencent.

- ...

- Bon.

- ...

- Dites, il revient bientôt, votre copain ?

- ...

- *sifflote*

Wizmerhill sortis de l'auberge avec ses compagnons, c'était une grenouille originaire de couacville. De par sa petite taille on ne pouvait pas trop deviner de sa valeur au combat. Il n'était cependant point très expérimenté, car il n'avait pas encore vécu de bataille. Les autres généraux marchaient à ses côtés, il y avait Peter à sa droite, il n'était pas vêtu de son armure et son habit était assez criard. Son visage jeune trahissait encore un peu trop de gamineries. Mais il étais valeureux au combat et étais près à s'épuiser d'acharnement avec les différentes armes qu'il manipulait (sa belle hache le plus souvent) sur l'ennemi pour sauver son peuple. Grom à la droite de Peter étais un guerrier dans la force de l'âge et qui avait vécus beaucoup d'aventures de toute sortes. Il avait rencontré peter du temps de son attachement à la Knight Team. Tout comme pas mal de Méjidiens il aimait bien faire la fête. Son expérience faisait de lui en combat quelqu'un de rapide (malgré son âge) et d'impitoyable avec sa hache. A la gauche de Wizmerhill, Killdémon, vêtu de noir comme un voleur et très vil en combat. Il a surpris plus d'une fois ses compagnons et à une liaison spéciale avec Kilik.
Ils marchèrent donc en direction de la porte nord. Elle n'était pas bien loin. Le temps ne gênait pas wizmerhill, mais les autres n'étais pas très heureux et peter regrettais de ne pas avoir pris son vêtement de pluie. Ses cheveux blonds furent vites trempés.
Arrivant à la porte nord :

- Wizmerhill : Ah ! Bonjour, que nous vaut le plaisir de votre visite ?

*Il présente à la personne vêtus de noir une main un peu gluante et trempée à la façon des grenouilles de couacville*

*serre la main moite*

- Bonjour, je suis Gorn Valim, seigneur chevalier, lieutenant de la guilde des Derniers Chevaliers. Je viens vous entretenir au sujet de certaines gemmes aux dons particuliers... Je crois que vous savez de quoi je veux parler.
J'ai de fortes raisons de penser que ces gemmes, la vôtre, la nôtre, sont convoitées.
Des éclaireurs ont confirmé nos pires craintes. Un clan de démons détient une autre gemme, et s'avance vers nous à travers les Plaines de Naep. Nous ne savons pas ce qu'ils veulent, mais ils s'approchent du Palais et des voies fréquentées, et l'Armée est trop occupée à se disputer avec d'autres démon(e)s. Nous contrôlons la zone au nord du Palais, par pur hasard, car il s'agit d'un poste avancé destiné à protéger nos chantiers pour retrouver notre gemme.
J'ai entendu dire que la pierre que vous avez trouvée était chargée des pouvoirs de Dranig.
Maintenant, je voudrais savoir quelles sont vos intentions. Apparemment, vous contrôlez Proncilia, mais qu'avez-vous fait des troupes royales ? De la population ?

- Peter : Figurez vous qu il n'y avait pas grand nombre de personnes du roi par ici. Je ne sais pas mieux que vous pourquoi. Quand à la population, elle s'est gentiment remise à notre cause si vous voulez savoir . . .
Pour nos intentions vous n'avez jamais entendu parler des Méjidiens en êtant à la solde du roi ?

- Hum, eurm, bé non. Et, à vrai dire, je n'ai jamais été vraiment à la solde du roi. Nous sommes une guilde neutre.
Ce qui m'amène ici, plus que tout autre sujet, c'est pour vous demander un tit coup de main... Les démons dont je vous ai parlés se rapprochent de nos lignes, et celles-ci ne tiendront pas devant leurs assauts sans une aide extérieure. Le Nord va bientôt être mis à feu et à sang... Et le Sud suivra. Donc quand j'ai entendu parler de vous, et de votre intérêt dans le conflit, il m'est apparu que vous avez peut-être aussi peu envie que nous que les Taïka marchent sur le Palais.

- Wizmerhill : Ah bah c'est bien gentil ça . . . *lèger temps de silence* mais euh le problème c'est que l'on est attaqué au Sud et que l'on a de moins en moins de personnes haut placées dans notre nation. Du coup on se pose de grosses questions sur le Kanly imposé par la nation Légend. Et la on a un peu de mal à trouver un champion pour notre nation. C'est une situation assez critique . . .

- Erf... J'en suis marri... Euh, je veux dire, ça me troue le... Enfin ça m'en bouche un coin. Vos effectifs sont donc si réduits ?
Dans ce cas, eh bien... Je m'en retourne, alors. Il faut ériger des défenses et tout, on a du pain sur la planche. Messires, je vous salue, et, euh... Peut-être nous reverrons-nous en d'autres circonstances. J'espère que vous règlerez vos troubles avec les, comment dites-vous ? Legend ?
N'oubliez pas, gardez un œil sur le Nord. L'ennemi arrivera par là.

Gorn réajuste sa capuche et adresse un signe de tête aux personnes présentes.